Mosco

La Völklinger Hütte plongée dans la lumière rouge
Copyright: Weltkulturerbe Völklinger Hütte | Oliver Dietze

Mosko jpg

Mosko jpg
Copyright: Gérard Fauré

Né en 1953 à Issy-les-Moulineaux France
vit et travaille à Paris/ Montreuil France

Panthère dans la réserve du poisson noir

Mosco leo

Mosco leo
Copyright: Weltkulturerbe Völklinger Hütte | Hans-Georg Merkel

Au milieu de notre habitat habituel, le monde urbain avec ses coins de rue, ses façades d'immeubles, ses murs d'arrière-cour et ses clôtures de chantier, nous rencontrons soudain et de manière inattendue des animaux sauvages. . Ces animaux sont l'œuvre du collectif d'artistes Mosko. Ils transforment les rues en 'Savanes Urbaines'.

Website: moskopeintreurbain.blogspot.com

Expositions

Werke

Panthère dans la réserve du poisson noir

Mosko leo

Mosko leo
Copyright: Weltkulturerbe Völklinger Hütte / Hans-Georg Merkel

Datation

2015, in situ

Dimensions

120 x 180 cm

Matériau

Peinture aérosole

Description

Le Paradis du Patrimoine culturel mondial Völklinger Hütte est un jardin paysager où la faune et la flore ont reconquis leur territoire. Avec Mosko, il se présente sous un aspect des plus sauvages. Un félin guette en effet les visiteurs dans la réserve du poisson noir, cette espèce qui aurait été aperçue dans l’ancien bassin à goudron. L’artiste parisien est connu pour confronter de manière inattendue les citadins à des animaux sauvages. Un léopard se faufile le long d’un mur dans une rue latérale, une girafe tend le cou vers la fenêtre du premier étage et un groupe de zèbres espiègles s’ébattent joyeusement à côté de l’escalier menant au métro. Au deuxième coup d’œil, nous identifions ces contemporains exotiques comme des graffitis au pochoir. Réalisés avec le plus grand soin et en plusieurs couleurs, ce sont des imitations réalistes de leurs modèles vivants. Mosko transforme les rues en « savanes urbaines ».
Voilà comment le maquis des villes peut parfois se transformer en jungle... La simplicité conceptuelle alliée à l’habileté de l’exécution laisse le champ libre à des modes de réception ouverts. Le critique d’art peut s’adonner aux associations les plus folles et aux interprétations les plus profondes, tandis qu’un enfant se réjouira peut-être, en toute candeur, de cette rencontre surprenante.