M. Chat
Expositions
Werke
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M.Chat
Copyright: Weltkulturerbe Völklinger Hütte / Hans-Georg Merkel
Datation
2015, in situ
Dimensions
210 x 140 cm
Matériau
Sprühfarbe
Description
Ce chat de gouttière jaune au sourire insolent a bien mérité son statut de personnage culte de l’art urbain. Le terrain de jeu préféré de ce sympathique animal, ce sont les endroits les plus insensés des toits d’une ville. Première question qui se pose : comme le peintre a-t-il bien pu y accéder ? Mais c’est précisément toute l’essence de ce mystère qui se matérialise. La preuve que ce qui passe pour impossible est possible et que ce qui est interdit est malgré tout faisable. La clé pour comprendre le graffiti. Monsieur Chat – ce nom désigne-t-il seulement le félin ou aussi son créateur ? Probablement les deux. C’est en 1997 que Thoma Vuille, l’artiste qui se cache derrière le malicieux quadrupède, commence à peindre de manière intempestive son personnage sur les murs. Apparu pour la première fois à Orléans, le matou ne tarde pas à hanter la capitale française. Il a ensuite été aperçu dans les plus grandes métropoles, de New York à Tokyo, mais aussi en Afrique ou dans les Balkans. Depuis 2015, il gratifie même les visiteurs de l’usine sidérurgique de Völklingen de son inimitable sourire.
Robert Kaltenhäuser
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M.Chat
Copyright: Weltkulturerbe Völklinger Hütte / Hans-Georg Merkel
Datation
2015, in situ
Dimensions
210 x 140 cm
Matériau
Peinture aérosole
Description
Ce chat de gouttière jaune au sourire insolent a bien mérité son statut de personnage culte de l’art urbain. Le terrain de jeu préféré de ce sympathique animal, ce sont les endroits les plus insensés des toits d’une ville. Première question qui se pose : comme le peintre a-t-il bien pu y accéder ? Mais c’est précisément toute l’essence de ce mystère qui se matérialise. La preuve que ce qui passe pour impossible est possible et que ce qui est interdit est malgré tout faisable. La clé pour comprendre le graffiti. Monsieur Chat – ce nom désigne-t-il seulement le félin ou aussi son créateur ? Probablement les deux. C’est en 1997 que Thoma Vuille, l’artiste qui se cache derrière le malicieux quadrupède, commence à peindre de manière intempestive son personnage sur les murs. Apparu pour la première fois à Orléans, le matou ne tarde pas à hanter la capitale française. Il a ensuite été aperçu dans les plus grandes métropoles, de New York à Tokyo, mais aussi en Afrique ou dans les Balkans. Depuis 2015, il gratifie même les visiteurs de l’usine sidérurgique de Völklingen de son inimitable sourire.